Titre du livre : Plus fort que la police

Nombre de pages : 110

Auteur : Rémi Stefani

Personnages principaux

Antoine : Après l’école, Antoine a retrouvé sa mère emmenée par la police devant chez lui.

La maman : Elle vole de la nourriture dans un hypermarché pour nourrir sa famille.

Le père : Sans travail, car son usine a fermé. Il est en prison parce qu’il a commis un hold up avec des amis.

Le commisaire : il fait tout pour retrouver Antoine et pour résoudre ses problèmes.

Résumé

Un jour, en sortant de l’école, Antoine aperçoit sa mère emmenée par la police devant chez lui parce qu’elle a volé de la nourriture dans un hypermarché pour les nourrir. Sans argent, son mari en prison et elle au chômage, elle devait voler dans les magasins pour vivre.
Antoine s’est d’abord caché dans le grenier de sa maison. Puis, par peur d’être localisé par la police, il a pensé à la cabane de son voisin russe, au bord de la rivière. Le commissaire a appelé Antoine sur son natel pour savoir où il était caché. Antoine lui ment et dit qu’il est au milieu de la rivière sur une barque, pour lui mettre la pression. Il lui dit aussi que ça ne sert à rien de libérer sa mère, qu’elle volera toujours dans les magasins tant qu’elle ne retrouvera pas de travail. Le commissaire est d’accord avec lui et appelle le maire. Celui-ci demande à son frère, le directeur du supermarché dans lequel travaillait la mère d’Antoine, de la réengager.
Par peur d’une tragédie et du scandale, le maire la libérera et lui retrouvera du travail. Antoine peut enfin rentrer chez lui. Son papa sera lui aussi libéré plus vite car il a mis au point, en prison, un nouveau système de fermeture des portes qu’il va devoir installer dans plusieurs prisons de la région.
C’est grâce à Antoine si cette histoire se termine bien et aussi grâce à des adultes qui ont su le comprendre. Antoine est malin et intelligent.

Est-ce que j’ai aimé ce livre ?: j’ai bien aimé ce livre parce qu’il est simple à comprendre et bien écrit. J’ai bien aimé le rôle d’Antoine dans cette histoire, il s’est bien débrouillé.

Dimitri